Chapitre V Quelques révélations pour le développement futur des métropoles chinoises
5.1 La révélation pour la construction urbaine
Actuellement la construction urbaine en Chine ne regarde pas la lenteur mais seulement la vitesse. En 2004 la China a construit 2.8 milliards de mètres carrés d’habitation avec une dépense de 400 milliards d’yuans.
La Chine pour nos jour a connu une construction urbaine à grande échelles, les villes connaissent une extension énorme de leur surface et changent de leur tailles, la constuction urbaine chinoise entre dans un processus de redistribution spatiale mène à l’expulsion en périphérie d’une large part des populations résidantes, des activités de production et des équipement lourds de transport ou de récréation. Les centres villes se recomposent (malls commerciaux, tours de bureaux ou de logements de haut standing). De 1980 à 2004, plus de 114000 kilomètres carrés de terrains agricoles ont été utilisé pour la construction urbaine. Quand à la capita le, selon le directeur adjoint du bureau de l’urbalisme de Beijing, il y a plus de 100 millions de terrains sont sous la construction, soit double plus que la construction de l’Europe.
La construction urbaine en Chine se caractèrise par la transformation des régions rurales en zone urbaines commerciales en créant de nouveaux quantier urbains. Beaucoup de grandes ville possédant en généralement de 10000 à 100000 citoyens a décuplé en l’espace de 20 ans, 2000 en 1978, et environ de 10000 en 1990 et 20000 en 2000.
Comparé avec la construction urbaine de Paris, la constuction urbaine en Chine est très rapide, donc pendant la phase de développer, les momuments historiques ne sont pas protégé très bien, et le style de la ville est très moderne et uniforme, donc nous avons perdu notre propre style chinois, donc l’expérience de l’urbalisation de Paris peut nous guider dans la planification des villes.
5.2 La révélation pour le développement humain de la ville
La population urbaine crût de manière constante d’environ 3 à 4 % de 1950 à 1960. La population urbaine subit de surcroît un « gros coup de pouce » en 1958-1961, durant le « grand bond en avant », en parallèle avec une volonté politique d’industrialisation à grande échelle. Pendant la Révolution Culturelle de 1965-1975, la population urbaine se vit décroître, résultant d’une « rustification ». De 1962 à 1978, l’on estime l’exode urbaine juvénile à près de 18 millions de personnes.
Cependant, après les réformes lancées vers la fin de 1978, la croissance de la population urbaine s’accéléra de nouveau. L’arrivée de capitaux d’investissements étrangers généra des emplois à la volée, ce qui encouragea davantage la croissance démographique dans les villes. Dans les années 1990, cette dernière commença cependant à ralentir. Ceci reflète en réalité le ralentissement de l’emploi, suite à la restructuration des entreprises étatales.
Une grande partie du peuple chinois vit sur la côte ouest du pays, la Chine traditionnelle. La plupart des paysages vivent eux, à l’instar de leurs ancêtres, dans les plateaux et les plaines centrales qui s’étendent des hautes terres orientales et méridionales à la mer. L’agriculture prédomine dans cette vaste région, généralement favorisée par un climat tempéré ou subtropical. Les champs quadrillés méticuleusement sont la preuve des efforts du gouvernement de pouvoir fournir sa population en nourriture.
Bien que l’exode rural ait été restreint depuis la fin des années 1950, la population urbaine atteignait déjà les 33% vers la fin de 1985. Un couloir industriel et urbain formait un gigantesque axe, s’étendant de Harbin au Nord-Est jusqu’à la métropole industrielle de Shanghai, en passant par Pékin.
Le développement interne inégal donna la part belle à la partie orientale du pays, et nul doute que l’exploitation des ressources minérales dans l’ouest du pays n’améliorera guère cette inégalité. Le terrain difficile et le climat ardu de cette région ont toujours historiquement découragé les afflux massifs de population.
En 1987, la Chine avait un total de vingt-neuf unités administratives provinciales sous le contrôle direct du gouvernement de Pékin. En plus des 21 provinces, (sheng), il y avait 5 régions autonomes (zizhiqu) pour les minorités nationales, et 3 municipalités spéciales (shi), c’est-à-dire Shanghai, Beijing et Tianjin (l’établissement de l’île de Hainan comme unité provinciale fut effectif seulement en 1988). Un changement de 1979 des frontières territoriales de la région du Nord-Est de la Mongolie Intérieure rétablirent cette dernière à sa taille originale (elle avait été réduite d’un tiers en 1969) au détriment des provinces de Heilongjiang, Jilin et de Liaoning.
Le rythme de l’urbanisation en Chine en 1949 à 1982 fut relativement lent, en raison de la croissance élevée de la population rurale, et des restrictions sévères des migrations urbaines-rurales. Selon les rapports de 1953 à 1982, la population urbaine grimpa de 13.3 à 20.6 % durant cette période. De 1982 à 1986 cependant, la population urbaine connût une augmentation effrénée, pour atteindre les 37%. Ce bond prodigieux fut la résultante d’une série de facteurs. L’un deux fut le déplacement des ouvriers des compagnes, mutés par le système de responsabilité agricole. Un autre facteur fut la décision de 1984 d’élargir les critères de classifications des villes. Au cours de l’année 1984, le nombre des villes doubla, et avec elle la population urbaine.
Pour l’année 1985, les démographes prévinrent que la plus de la moitié de la population chinoise serait urbaine à l’aube de 21ème siècle. Cette croissance urbaine fut attendue notamment en vue du développement des villes de petite et moyenne taille, plutôt que de celui des grosses métropoles déjà existantes.
Bien que la population urbaine – 382 millions, soit 37% de la population en 1985, soit relativement basse par rapport aux nations développées, le nombre d’habitants urbains était déjà plus élevé que dans n’importe quel pays du monde (à l’exception toutefois de l’Inde).
Les quatre villes abritant les populations les plus importantes en 1985 étaient Shanghai (7 millions), Beijing (5.9 millions), Tianjin (5.4 millions) et Shenyang (4.2 millions). La distribution disproportionnée de la population des grandes villes est apparu comme le résultat d’un effort gouvernemental de 1949 de développer les grandes métropoles. A cette époque, les 22 villes les plus peuplées rassemblaient 12% de la population, soit 47.5 millions. Le nombre de villes avec une population d’au moins 100 000 habitants passa de 200 en 1976 à 342 en 1986.
De 2010 à 2025, il est estimé par le Ministre d’hébergement et du développement urbain-rural que 300 millions de chinois vivant actuellement dans les campagnes migreront vers les villes. Le rythme rapide d’urbanisation créera une opportunité d’au moins 1000 milliard de yuans d’investissement d’approvisionnement en eau, traitement des déchets, de chauffage et de diverses installations publiques dans les villes.
5.3 La révélation pour le développement politique de la ville
Pour faciliter l’urbanisation en Chine, le gouvernement chinois lancé beaucoup de politiques, soit pour lutter contre la pollution, soit pour baisser la tention de transport. Mais la politique le plus importante au cour de l’urbanisation en Chine, c’est la décentralisation administrative et des pouvoirs.
La décentralisation administrative a été lancé en 1984 par le gouvernement chinois avec une réforme sur des compétences et des finances publiques qui était au but de libérer les terrains de collectivité du pouvoir centralisé, cette action est traduit par Thierry Sanjuan en 2007 comme 《L’espace politico-administratif du Pariti-Etat se distend》. Cette politique a permi des villes veulant se développer d’avoir plus de droit sur l’usage du sol, l’usage financier et la gestion locale, particulièrement sur la construction de grande échelle, Cette politique a permi aussi de distribuer des ressources publiques à nouveau en faveur des collectivités locales, car la décentralisation a fourni des l’usage financière libre pour des collectivités et des pouvoires locaux en faveur de l’aménagement et de l’urbanisme locaux. Sous cette politique environ 40 villes en Chine sont devenues des métropoles internationale pendant des années 2000 et avec la capacité budgétaire autorisé par le gouvernement chinois des pouvoirs locaux deviennent un acteur majeur dans l’aménagement du territoire et l’économie du marché en Chine.
Grâce à cette politique importante, des collectivités locales peuvent d’avoir quatre sortes de ressources financières en vue d’assurer leurs capacité de développement au cour de l’urbanisation, soient les revenus budgétaire, les revenus hors- systèmes (pour la vente des terrains ou d’autre biens en matière), les revenus extra- budgétaires. Ces qutres ressources financières sont prévues particulièrement pour l’expropriation et la transformation des terrains d’agriculture en zone urbaine, et en voie de l’urbanisation chinoises, seulement les revenus hors-systèmes contribuent plus de 10 milliards d’yuans par an aux structures municipales, avec la décentralisation financière soutenue par la politique, beaucoup de terrains sont utilisés pour la construction urbaine dont la plus part contribuent au développement des installations publiques, selon des études la construction des installations publique occupe près de 40‰ des dépenses des gouvernements locaux.
La politique de decentralisation libére la financement et les terrains dans la main du gouvernement central de la Chine, et elle favorise le développement des collectivités locales qui mènent une urbanisation dynamique et en autre côté, les povoirs locaux peuvent attirer les grosses entreprises immobilières qui donnent encore des projets urbains aux locaux.
Donc on peut dire la politique donne un impact indispensable dans le développement de l’urbanisation, elle est comme un moteur pour produire l’urbanisme chinois.
5.4 La révélation pour le développement économique de la ville
L’année 1978 est une date remarquable dans l’histoire du développement économique et urbain de la Chine. Car pendant des années de 1966 à 1976, la Chine était sous la Révolution culturelle qui était au but d’anti-urbainisme; cela a produit la problèmatique fiscal dans les années 1966. Avec la présentation de pouvoir de Dengxiaoping en 1978, et après 20 années d’oppression de la Révolution culturelle, nous avons vu une pression fiscale grave dans le développement urbain de la Chine, par exemple le budget municipal de Shanghai a été coupé jusqu’à 80‰ pendant la Révolution culturelle! Donc dans ce càs là, Dengxiaoping a fait des changements économiques spéciaux en vue de faciliter la construction rapide de l’urbalisation des villes, les grande villes au bord de la mer se sont font l’objet comme des zones économiques spéciales indiquées pariciculièrement par Dengxiaoping au but d’attirer l’inversitissement étranger pour le développement économiques urbaine de grande échelle.
En 1984. Nous avons vu les réformes sur l’économie urbaine, surtout pendant des années 1992 sur le foncier, soit l’Ouverture de 14 villes côtières, cette réforme a bénéficé à la propriété immobilière privée et à l’ économie de marché. Donc pendant cette période d’ouverture, des villes spéciales a construits des immobliers aux fonctionnes différentes, et le gouvernement chinois a augmenté la croissance économique à travers du développement urbain et l’ouverture du marché. C’était pendans ces années, Shengzheng étant une des petites villes rurales dans le Delta de le Rivière des perles s’est développé rapidement et actuellement elle est une des villes les plus importantes en Chine. Et les invertissements étrangers comme Microsoft à Beijing ou PSA à Shangai ont apporté des activités économiques, dans ce cas là des changements économiques ont favorisé également le développement de l’urbalisation dans de grandes villes chinoises.
L’ouverture de la Chine au commerce international
Un autre développement économique qui favorise l’urbalisation chinoise est le développement du marché automobile, l’ouverture du marché a conduit une explosion des mobilités de chaque personne, avec le développement économique des villes importants les besoins de mobilité ont augmenté, en 2003 Julien Allaire a dit que pendant les deux dernières décennies, la crossance sur la demande de transport privé était plus rapide que la croissance du PIB en Chine, le transport de personne a été multiplié par 5.3, et en vue de satifaire cette demande le gouverement chinois devrait développer le transport routier et construire l’induistrie automobile dans certaines villes chinoises. Selon la vitesse de développement accélére et la forte demande sur l’usage automobile, en 2009 le directeur du CNRS( Centre national de la recherche scientifique de la France)et du CECMC(le Centre d'études sur la Chine moderne et contemporaine de la France), Frédéric Obringer a prévu que 130 millions de véhicules seraient sur les routes chinoises en 2030. Les grandes villes chinoises sont souvent inspirées par des villes développées européenes comme Paris qui installe beaucoup de axes des voires dans les parties principales de la ville et des ceintures périphériques autoures des banlieux et le centre ville, comme pour le moment dans les grandes villes chinoises comme Shanghais il y a beaucoup d’axes routiers à travers de toute la ville et des périphériques autours des villes qui élargisse la superfice urbaine, et en 2012, la ville de Chengdu à la suite de Shanghai a établi un pont aérienpont viaducroute surélevée autour de la deuxièle périphérique de Chengdu au but de baisser la pression de trafic. Et dans certaines villes chinoises, nous pouvons trouver la motorisation la plus rapide dans le monde.
Pont aérienpont viaducroute surélevée de Chengdu
Le développement urbain en Chine s’appuie largement aux transformations et développements économiques. Avec la croissance du PIB étant environ de 10‰ en 2008, et 11‰ en 2010 amenée par l’investissement productif colossal fort, le développement urbain de la Chine est comme le produit de cette augmentation économique Et en même temps la construction urbaine se bénéficé aussi aux politiques comme la décentralisation administrative dans des Zones Economiques Spéciales en Chine, surtout pour des villes de grande et moyenne taille en Chine. Tout cela amène la croissance urbaine en Chine.
Conclusion
Dans ce doccument, j’ai analysé tout d’abords l’urbalisation de Paris à travers de sa longue histoire, sa construction urbaine, l’évolution politique, humaine, économique, etc. L’urbalisme parisien a une longue histoire de développement, maintenant Paris est une ville moderne, historique, moin polluée, cuturelle et commerciale.
Ensuite, selon la situation spéciale du développement de la Chine, j’ai analysé les développements politique, humaine et économiuque de la Chine et ses impacts donnent à la constuction de l’urbainisation chinoises, particulièrement les tournants importants historiques de la Chine, par exemple le développement de la Chine après des années 1978, la Chine a laissé certaines villes se développer tout d’abords, parmi des villes, la performance de Shanghai est remarquable.
en 1992 Dengxiaoping a décidé de pousser le développement de Shanghai. Et pour le moment Shanghai est le centre financier de l'Asie qu'elle occupait auparavant. À Shanghai il y a 18,9 millions d'habitants dans ses quartiers urbains, elle est donc la ville la plus peuplée sur l’aspect de la population urbaine en Chine, en 2012 ella avait totalement 23,5 millions d'habitants.[ Shanghai est aussi une des villes métropoles mondiales importantes au même niveau de New York, Londres, Tokyo et Paris. Et grâce à sa urbanisation réussite, l'Exposition universelle de 2010 a eu lieu dans cette ville.
depuis 1921, le sol de la métropole s'affaisse[30] à une vitesse estimée à 1,5 cm par an[31]. Un tiers des affaissements des constructions dans le centre-ville est dû à ces grandes tours, d'après le Bureau de la planification de la ville de Shanghai,Il y aurait actuellement 5 000 tours, dont 120 gratte-ciels de plus chaque année, et 20 000 chantiers permanents[réf. nécessaire]. Le World Financial Center, en est l'exemple le plus éclatant, avec ses 492 mètres de hauteur, il est le plus haut bâtiment de Chine. En 2006, un appartement de la Tomson Riviera, située à Pudong, s'est vendu pour 190 millions de yuans, soit environ 19 millions d'euros[].[1]
En fait, La succès de Paris influence beaucoup dans l’urbanisation de Shanghai, comme en 2011 Shanghai a coopéré avec la France pour un projet de 5 ans pour la mise en place de bâtiments plus économes en énergie à Shanghais.
Donc on peut dire l’histoire de l’urbanisation de Paris nous donne beaucoup d’expériences et des idées sur la construction urbaine en Chine.Selons des expériences de Paris, un développement durable est très important dans l’urbalisation des villes.
Comme j’ai parlé des problèmes dans le développement des villes chinoises, les problèmes de pollution aux quels des villes chinoises doivent faire face sont devenus une limite dans l’urbainlisation. En Chine car le développement très vite, on ne fait pas assez attention sur la balence entre le développement urbain et l’environnement. Les flux de marières prèmière utilisées et des déchets de constuction, le gaz jeté par des véhicules, et d’autre poullutions créent des tensions dans l’urbanisation chinoise. À l’égard de Paris, au début de 19ème siècle, la révolution de l’industrie française s’est développé très bien à Paris, mais en même temps cela a entraîné une grande vague d’immigration. En 1836, la population de Paris était seulement 899 ,mille, mais en 1856 sa population était 11740 mille, sour cette situation, ce développement rapide a accompagné de la pollutions très grave à Paris, dans le centre ville de Paris, la population était concentrée, l’eaux eaux résiduaires de ménage et d’industrie était par, tout, la maladie s’est étendue très vite à Paris, comme les 20000 morts à Paris à cause de la maladie de choléra, à ce moment là les parisiens se sont attachés aux impact de l’urbalisation. En 1852 le prefet Haussemann a fait une transformation sans précédant dans l’histoire de Paris. Il a élargi des voire et a ajouté l’espace verte, l’amélioration des égouts, etc. Et pour le moment au centre ville de Paris il n’y a pas de fabrication et le concept du développement durable est devenue très importante.avec les expérience de Paris on peut trouver notre propre solution des polutions en Chine, la devise est de garder la balance entre l’urbalisation et l’environnement, et contrôler la vitesse de développement, une condition propre et des espaces verte peuvent supporter le développement de l’urbalisation des villes en Chine.
Par exemple, Dans la phase de l’urbanisation, Shanghai connaît beaucoup de problème de pollution, pour bien équilibre la relation entre le développement et l’environnement Shanghai a construit un peu d’éco-quartiers aux standards européens à Shanghai dont la plus part est sous l’influence de Paris. Des éléments écologiques se font présenter de plus en plus dans la construction urbaine à Shanghai comme (double-vitrage, isolation, pare-soleil...) . Pour le moment Shanghai s’attache à constuire des bâtiments écologiques avec des matériaux recyclés ou à basse intensité carbone, comme
· L’hôtel Urbn, en centre-ville, a été réalisé presque entièrement en matériaux récupérés sur les chantiers de démolition de Shanghai (murs de briques ou de tuiles de récupération, planchers recyclés, cabine d’ascenseur récupérée d’un ancien immeuble du quartier…). Les émissions de CO2 liées à l’activité de l’hôtel sont compensées par des financements accordés à des projets de développement de production d’énergies renouvelables ou d’économies d’énergie ;
· Sur l’île de Chongming, un village-vacances écologique a été construit avec des maisons à basse intensité carbone, très étanches et pensées architecturalement pour éviter les pertes d’énergie.
· Le centre de recherche et de technologie de l’entreprise Dow, implanté en 2009 au sein du parc high-tech de Zhangjiang, est également construit en matériaux à faible impact environnemental. L’eau de pluie y est réutilisée pour l’irrigation ainsi que les toilettes ;
· L’Oréal a ouvert à Pudong un centre de R&D certifié LEED Gold (Leadership in Energy and Environmental Design).[2]
Et encore plus, depuis des années 1930, la rivière a été un outil mportant de transport à l’intérieur de Shanghai. Donc on a établit nombreux d’entrepôts et d’usines tout au long des rives du fleuve de Shanghai, surtout l’usine de textile, cela a développé une zone industrielle importante mais à la fois on a ignoré l’environnement, avec le développement rapide de Shanghai la rivière est progressivement devenue la voie d’eau la plus polluée à Shanghai, la situation était très grave particulièrement dans la zone Suzhou Creek.
Avec le développement urbain et la restructuration industrielle de la ville au début des années 90, toutes les usines au centre villes et à côté des rivières ont été déplacés aux banlieux. À partir des années 1992, le gouvernement de Shanghai a installé un projet d’aménagement pour faire Suzhou Creek devenir une nouvelle zone d’habitation et un centre commercial attractif. Par la suite, en 1998, les pourvoirs locaux ont lancé un projet de 12 ans en vue d’améliorer la situation de l’eau, de réduire des déchets, introduire la gestion des eaux utilisées et pousser le développement urbain des quartiers de Suzhou. Pendant l’été de 2011 Shanghai a dragué 1,3 millions de m3 de boue et toxines industrielles dans cette ville.
Et selons la planification de Paris, pour baisser la pression de la population à Paris, Paris a développé beaucoup de nouvelles quartiers et de placer des communes secondaires autours des banlieux de Paris, et en même temps, Paris a développé également son système de transport, comme les réseaux du métro et des périphérique en vue de baisser la difficulté d’aller aux lieux de travaille des parisiens, cette mesure a beaucoup baissé la population concentrée dans le centre ville de Paris, en Chine, on peut aussi développer la contition de vie des banlieux et créer plus de périphériques dans notre villes, et améliorer la situation de circulation en vue de déplacer des gens aux banlieux des villes, et baisser la tention de la population dans le centre ville.
Le problème de la circulation encombré est très important dans notre vie courante, à Paris il y a 12 axes principaux, et le métro de Paris acceuille chaque jour 350000 passants. Donc pour régler ce problème, La Chine par la suite des expériences de Paris crèe beaucoup de grande voires et limite chaque jour la circulation des véhicule en développant le transport en commun, comme dans beaucoup de villes, la consotruction des réseaux de métro est très importante, car le métro est devenu un sympole de modernisation et évolué dans l’urbalisation.
Quand au le problème du loyer très haut, Paris a lancé la politique de CAF, cela a baissé le coût de la vie des parisiens, sur cela, je pense que c’est une très bonne expérience pour le future développement de l’urbalisations des villes en Chine.
La Chine est un pays en voie de développement, et Paris c’est une ville très bien développé, des villes chinoises rencontrent l’évoluation humaine, politique, économique spéciale, l’urbanisation chinoises a sa propre spécialité, mais si l’on s’appuie sur les expériences de Paris, La Chine pourrait aller plus loin dans sa urbanisation, et l’on pourrait construire plus de villes durable en Chine.
[1] http://fr.wikipedia.org/wiki/Shanghai#Immobilier
[2] http://www.ambafrance-cn.org/Shanghai-ville-durable-les-eco-quartiers.html
Bibliographie
1. Un Energy Information Administration(2006), Country Analysis Brief: Chine
2. Allaire Julien, 《L’émergence chaotique du marché foncier en Chine》, note de travail du laboratoire LEPII, UMP 5252 CNRS UPMF, Grenoble, France, 2007
3. Descamps Jéremie, 《La fabrication de la ville》, dans Urnanisation de la Chine, utopie et réalité, numéro spécial revue Connexions, N 54, 2010
4. http://en.wikipedia.org/wiki/Paris
5. http://www.njyhxc.gov.cn/s/111318/t/124/06/d8/info1752.htm
6. http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/espos_0755-7809_1986_num_4_3_1172
7. http://www.doc88.com/p-9743793097129.html
8. http://max.book118.com/html/2013/0508/3771563.shtm
9. http://www.linternaute.com/histoire/motcle/84/a/1/1/paris.shtml
10. Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle volume 12
11. Polinside, Tours triangle, l’avenir des villes ? [archive], Agoravox, 4 décembre 2012
12. Cai long,《Des pensée sur le développement urbain de Paris》, la commission de construction de Nanjing
13. Li Ping, 《The Human Landscape of Pais》, Universté d’enseignement de Shanghai
14. Xiao Feng, 《La politique chinoise de protection de l’environnement 》, contribution au Congrès Marx International V, Pais Sorbonne et Nanterre, 3-6 octobre 2007
15. Produits Intérieurs Bruts Régionaux (PIBR) en valeur en millions d'euros [archive], sur site de l'Insee, 2012 (consulté le 19 août 2013).
16. Statistiques régionales d'Eurostat [archive], Produit intérieur brut régional (Mio. SPA), par régions NUTS 2 (tgs00004). L'Île-de-France a un PIB en parité de pouvoir d'achat de 558 330 millions d'euros en 2008 contre 328 322 pour la Lombardie et 266 982 pour la région de Londres.
17. Les marchands de l'eau : Hanse parisienne et Compagnie française, par Picarda, Émile. Paris, É. Bouillon, 1901 [archive], sur archive.org. Consulté le 25 avril 2013.
18. OBRINGER Frédéric, 《Les écovilles en Chine. Du rêve nécessaire à la réalité marchande》, dans Mouvements, N 60, P. 29-36, 2009